La cheffe du BINUH Marie Isabelle Savaldor a eu une sortie pour le moins critiquée par des acteurs politiques. Elle souligne qu« On ne sort pas d'une transition par une nouvelle transition. Pour arriver à ces élections, il faut d'abord garantir la sécurité ».
Une sortie qui est perçue comme un soutien substile au gouvernement d'Ariel Henry à un moment oùles débats s'agitent dans tous les sens sur la fin du mandat d'Ariel Henry.
Même si elle souligne qu'il s'agit de son opinion, mais dans un contexte tel, cette publication de la diplomate n'est pas prise comme une simple publication.
Ceux qui se préparent au départ d'Ariel ont désormais de l'eau dans le moteur de la mobilisation visant à obtenir le départ d'Ariel Henry le 7 février 2024.
Récemment Mme Manigat a rappelé qu'au regard de l'accord du 21 décembre que le gouvernement comme le Haut Conseil seront en fin de mission le 7 février.
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